Le brouillard

Lorsque la nuit tomba sur le cimetière un froid glacial tomba avec cette dernière puis un impénétrable brouillard commenca à remplir ce lieu de cépultures. Tous les vivants se trouvant en contact avec le brouillard commencèrent à avoir des noires comme par exemple les resensements complêts de leurs echecs respactifs à travers leurs vies, tel que le fait qu'ils vont tous mourir un jour ou l'autre, ainsi qu'ils ont otus perdus quelqu'un au courant de leurs vies qui leur était cher et même certain pensaient au suicide. C'est pour cette raison que les vigiles en faction gardant les entrées de certains endroits rentrèrent tous à l'intérieur pour sortir de cette nappe de mauvais souvenirs. Malgré le fait que certaines portes furent fermées le brouillard commença à se répendre même sous terre ce qui est, pour ceux qui si connaissent légèrement en météo, quelque peu improbable. Ainsi tous ceux se trouvant dans le cimetière tombèrent ou retombèrent dans une marée d'idées ténêbreuse au point que le croque-mort se pendit au chêne des pendaisons et mouru par strangulation deux minutes plustard. Une femme enceinte venu simplement pleuré la mort de fut son jeune mari sortit un couteau de cuisine de sa robe, s'ouvrit les veines et s'accota sur la tombe de ce dernier avant de mourir. Une meute de loup à proximité s'entretua en moins de temps qu'il ne faut pour dire: désespoir. Une biche dévora son fan et mouru étouffé par les entrailles du petit.

À l'appogée du désespoir de tous, environ vers minuit, le tonnerre commença à retantir et les éclairs à apparaître malgré le fait qu'ils étaient quasi imperceptibles au travers de ce désespoir brûmeux. Quelques minutes plustard tous les vivants étaient dans un coma qu'ont aurait dit ittillique dû au fait d'avoir trop ingérer de ce malheur. C'est à partir de ce moment qu'une sombre mélopée commença à être entendu par ceux ou celles qui auraient été proche du brouillard autrement dit du cimetère.

-Nous avons été de tous les peuples et d'aucuns
-Le sol nous avons foulé
-Aujourd'hui nous sommes sous ce dernier
-Vaincus par le temps, la plume ou l'épée

-Des mondes ont changés depuis notre dernière foulée.
-Le soleil nous ne le voyons plus depuis trop longtemps.
-Nos souvenirs ont déjà trop remplis ces lieux
-Nous sommes ceux qui sont oubliés ou encore pleurés

-Nous acceptons le pacte
-Pour que puisse venir notre liberté
-À la guerre nous allons
-Pour la cause nous pourfandrons

Les voix se turent tout à coup et une seule retantiit à travers les sombres idées brûmeuses.

-Que se lève ceux qui ont choisi de s'éveillé une dernière fois.
-Que de la terre ou de la pierre ils sortent.
-Que à nouveau ils foulent le sol des vivants.
-Que viennent le dernier âge.

Tous bruits cessa durant quelques secondes puis une autre voix caverneuse pronoça des mots dans une langue apparemment inconnu de tous.

Du brouillard vint les bruits de cavaux qu'on fracassait, des morts qui s'extirpaient, des portes qu'on défonçaient et des os qui craquaient. Tous ces jolis bruits durèrent quelques temps après quoi cette purée de malheurs commença à lentement se retirer vers la mer qui est à des lieux de là. Cette brûme laissait derrière elle des vivants qui commençaient à sortir de leurs coma, des cavaux piliés des dépouilles qu'ils contenaient, des trous dans la terre à l'emplacement de certaines tombes et un froid de mort.

Pour les personnes se trouvant sur la côte ils appercurent deux nappes de brouillard se rencontrer, l'une venant des terres et l'autre du grand large. Puis ils assistèrent à l'union des deux. Dans des village bordant la côte un jeune garçon prétendit avoir vu les deux mâts d'un navire dans cette brûme mais personne ne le pris au sérieux vu son âge et son indiscipline omniprésente.

Les comateux se réveillèrent ne sachant plus trop se qu'il s'était passé durant les dernières heures à l'intérieur du cimetière.

Sur la côte maintenant, une petite barque ramena un sombre individu sur la berge. Lorsque l'occupant quitta le bord de l'embarquation cette dernière s'éloigna touta seule des bas fonds et lorqu'elle arrivca au large elle sombra dans les abysses bleus. Le ténêbreux personnage pour sa par marcha sans se retourné vers le centre des terres.

-OUT-