Capitaine Joseph Kane !

*Nom et prénom : Joseph Kane

*Âge: 34 ans

*Race: Humain
Pour humains peuple: Pirate

Classe : Guerrier/Voleur

*Alignement : Il est techniquement Neutre.

*Description physique: Mesurant à peu près un mètre quatre-vingt, sa peau est foncée de nature mais l’exposition considérablement longue au soleil lui aurait donné un beau teint bronzé digne des marins de hautes mers. Ses cheveux châtains en boudin et ses yeux bleus le rendent encore plus charismatique. Portant un tricorne en cuir, une chemise beige avec un sans-manche noir, un pantalons, également, de cuir, des bottes mi-mollet et un par-dessus ressemblant à un manteau long gris font ressortir en lui tout les attraits d’un pirate ayant de l’expérience dans la matière. Sa rapière lui est fort utile dans les combat car c’est la même qu’il utilisait d’il y a de cela quatre ans, c’est donc son arme de prédilection. Il porte aussi un pistolet qui ne sépare jamais son maître, tout comme son chien. Son genou droit est un peu amoché du à une vieille blessure de guerre.

*Description psychologique: Il ne croit en rien, il n’est pas ouvert, il est colérique et paresseux mais sous cette affreuse couche de défauts se cache un homme qui aime aider sans avoir rien en retour. Il aime voler, saccader et s’amuser, puisqu’il est un pirate mais généralement il volera plus les riches que les pauvres ou la classe moyenne. C’est parce qu’il y a plus d’argent à faire, dit-il mais on pense qu’il aime seulement donner son gain aux pauvres et aux mendiants. C’est un marginal né et ne changera, pour le meilleur ou pour le pire, jamais.



Si il y a lieu, pouvoir: Pouvoirs de Guerrier:
-Un(1) pv supplémentaire (2 fois)

Pouvoirs de Voleur:
-Discrétions: Les personnages ne peuvent l'apercevoir pendant deux(2) posts à moins d'une attaque directe ou un vol. Ne peut être utilisé durant un moment d'action(combat ou autre).
-Cleptomanie: Il est possible de voler l'argent d'autrui en lui parlant pendant 3 post sans qu'il ne parle à quelqu'un d'autre à l'aide du pouvoir de voleur cleptomanie. Si l'aventurier lui parle pendant cinq(5) post il pourra alors lui subtiliser tous les objets magiques sur lui hormis ceux portant un sceau quelconque anti-vol.
-Rapidité: Priorité de mouvement lors d'un combat.
-Mythomanie: Le voleur peut mentir à sa guise durant deux(2) post sans que les autres ne se doutent de sa paroles. Seuls les dieux ne peuvent être berné.

Talent:

*Faiblesses (un minimum de une pour tout le monde!) : Son genou droit est sensible.

Croyances : Cet homme est un typique athée. Il ne croit en rien ni personne qui soit céleste ou démoniaque.

Histoire :

La porte vola en éclat. Je me dirigeai déjà vers celle-ci, arme en main prêt à tout. Dans ce temps, rien ne m’effrayait vraiment, l’inconscience de l’âge, à ce qu’on dit. L’entraînement militaire terminée, je venais de revenir chez moi et c’est maintenant qu’on décide de me déranger, ça ne se passera pas ainsi, vous dis-je ! Je suis le meilleur de ma division au centre militaire, alors pourquoi un simple vandale, apparemment, me ferais peur ? Le soldat Kane n’a peur de rien ni personne, ça c’est moi qui vous le dit, c’est une des règles d’honneur au centre et on doit la respecter et l’utiliser à la règle. M’apprêtant à découper l’intrus qui osait violer mon intimité, j’eus la peur de ma vie, non pas en découvrant un monstre ou une bande de bandit mais en voyant mon supérieur et les hommes avec qui je m’entraîne devant moi près à tirer de leurs arbalètes et de me découper de leurs épées.

Chef De Vautours prit la parole, dépliant un parchemin devant mes yeux.

‘‘Joseph Kane, soldat dans la division ouest de la garde royale de la sainte ville d’Ulair, vous êtes accusé de vol à la royauté et de trahison à celle-ci. Votre pistolet à été retrouvé près de la salle royale où des bijoux de grandes valeurs y manquent. Comprenez-vous les tords dont vous êtes accusé ?’’

La voix me manqua, mon épée tomba au sol sous un son lourd. Je ne pu dire mot à la terrible pièce dont j’étais le principal acteur. Le grand homme de deux mètres de grandeur me répéta la question avec un ton d’insistance.

‘‘Joseph Kane, comprenez-vous les tords dont vous êtes accusé ?’’

Rien ne me vint à l’esprit, qui aurait pu faire une chose pareille, qui aurait pu accuser un homme innocent à sa place et pourquoi moi ? Je voulu poser ma main sur mon pistolet et le sortir pour prouver mon innocence à tout le monde et pouvoir à nouveau vivre ma vie, aussi normale et calme soit-elle, mais je n’empoigna que le vide…Mon pistolet avait réellement disparu. J’aurais voulu me défendre de mes supposés tords, j’aurais voulu crier que ce n’était pas moi mais mon subconscient savait que cela ne servirait à rien. Je ne répondis que par un mot, aussi simple soit-il, il révélait tout, mon abandon, ma lâcheté et mon impuissance devant cette ignoble journée.

‘‘Oui .’’



Ils m’amenèrent donc au poste de la garde royale où je recevrais le châtiment proportionnel aux actions si épouvantables que j’avais commis. Ils me firent asseoir sur une chaise dur comme le fer dans un pièce fait de pierre grises et mornes. J’attendis plusieurs minutes, qui se transformèrent bientôt en heure, avant qu’un homme de petite taille habillé d’une toge noire et blanche, habit typique du juge Ulairien, n’entre accompagné du chef de la garde royale, lui-même et de son adjointe, générale Fullia, une femme forte et de loin la meilleure garde de toute les régiment réunis ensemble. Ils se placèrent tous devant la table qui me séparait de ces êtres de loi. Je me levai prestement pour faire mine de respect mais on me prit par l’épaule et brutalement me faire rasseoir sur la dure chaise qui endolorissait mon postérieur sans défense.

‘‘Assis, criminel ! Tu n’as pas l’ordre de te lever, dit le chef de la garde en me regardant comme si c’était la première fois qu’il me rencontrait.’’

Et pour une première impression…C’était sûrement raté…Le vieux juge dans la soixantaine me regarda durement de ses yeux marrons qui semblaient transpercer bord en bord mon âme.

‘‘Vous avez pourquoi vous êtes ici, j’espère ? Bien sur que vous le savez, jeune idiot. Comment mieux gâcher sa jeunesse que d’essayer de voler la couronne royale ? Bien sur, elle a été restituée à notre royal patriarche. Vous ne l’avez pas très bien caché, voleur. Le dessous de la couchette n’est pas souvent la meilleure endroit pour cacher un objet d’un telle valeur. ’’

Le dessous de ma couchette ? On aurait trouvé la couronne ou c’est ce qu’il voulait me faire croire. C’était un complot. Une simple action de routine, à chaque fois que quelqu’un trouvait une faille dans le système il fallait éliminer le problème. Ils s’étaient sûrement d’homme. Je n’était pas un traître et encore moins un voleur !

‘‘Êtes-vous prêt pour entendre votre châtiment ?’’, dit le juge.

Mon silence fut déclencheur. Le juge n’attendit pas ma réponse.

‘‘Joseph Kane, pour vol des bijoux royaux, trahison à la couronne et pour crime de guerre, ayant trahi votre régiment, je vous condamne à 10 ans de détention dans la prison de l’île voisine d’Ulair. Acceptez-vous ces termes ?’’

Si je répondais de façon négative ou que je ne répondait pas du tout, la sentence serait aggravée, telle sont les lois d’Ulair. Je me rendais compte de plus en plus que ces règles n’étaient que déroutage et pures profitassions. Mon silence allait encore être, encore une fois de plus définitif et décisif pour mon avenir mais…

‘‘Il l’est ! Pas vrai que vous l’êtes ? Dite-le, vous êtes en accord.’’

La voix de la garde Fullia percuta mes oreilles comme un raz-de-marée percuterait un mur d’un bourg. Elle m’avait sûrement éviter une mort certaine sur la place publique car sa voix me réveilla et J’ouvris la bouche subitement en regardant la femme qui m’avait sauvée la vie.

‘‘Je suis en accord…’’

‘‘Soit, qu’il en soit ainsi.’’

Le marteau s’écroula sur la table et la séance fut levée. Je me fis amener par les gardes royaux tandis que De Vautours regardait d’un œil malsain la jeune femme qui restait de marbre. Je ne pu la lâcher des yeux avant de tomber dans l’inconscience sous le choque d’une matraque sur ma tête…Je rêvai bientôt à l’océan et aux mouettes.
Je me réveillai bientôt avec la première vue splendide de mon rêve. Je voyais le ciel bleu sans nuage, le soleil qui perlait ma peau sans la brûler et les mouettes qui tournaient autours de ma tête en criant leur faim. Je me levai pour admirer la vaste étendue d’eau qui me séparait maintenant de la terre ferme, jamais je n’aurais voulu revenir sur celle-ci. Les reflets de lumière m’aveuglèrent quelques instants, cela n’alimenta que mon envie de la toucher…Il y avait cependant un mais. Mes pieds et mes poignets étaient attachés par de gros bracelets de fer retenus par des chaînes qui semblaient incassables, je ne pu donc pas aller toucher ce que je trouvais si merveilleux. Je retombai sur terre sans même y toucher quand je vu les dizaines d’autres prisonniers avec moi, souvent des clochards où des bandits de petits crimes, aucun n’était apparemment riche ou ne l’étaient plus. Je m’assis alors sans dire mot pendant tout le trajet, en fait je ma tête, elle, n’était pas silencieuse, elle n’aurait jamais pue l’être en de telles circonstances. Pourquoi suis-je ici ? Je ne suis pas un criminel. C’est un complot, on me veut du mal ! J’étais si épuisé, je sentais mes forces me quitter, j’avais si mal à la tête. Mes yeux se fermèrent d’eux-mêmes sous le soleil chaud et le bruit des mouettes qui, à ce que j’attendais ou hallucinait, m’appelait par mon nom. Kane ! Kane !…Kane…



‘‘Debout sale énergumène ! Allez, un peu de courage, c’est pas comme tu avais purger près d’une dizaine dans un trou à rat qu’est cette prison, pas vrai ? Ha ha ha !’’

La mauvaise haleine et le postillon du geôlier me réveilla comme à chaque jour. Mes muscles endoloris me tiraillaient le dos sur la vieille couchette de bois pourrie qui me servait de lit. J’eus de la difficulté à me redresser, ce matin-là. Je regardai le soleil qui passait dans les barreaux du trou qui me servait de fenêtre. Le même soleil au même endroit depuis maintenant près de dix ans.

‘‘C’est ta dernière journée dans ce vieux cimetière, Kane. Alors pour l’occasion, tu auras le droit aux traitement aux petits oignons, mon espèce de chanceux que tu es ! Ce traitement s’appelle le traitement deux pour un. C’est simple, tu auras double portion aux repas, deux séances d’entraînement et même double portion de torture ! N’est-ce pas fantastique ,mon petit chanceux ? Bon, allez hop ! À l’arène, tu as une grosse journée aujourd’hui. ’’



Je revêtis mon accoutrement qui me servait de présumé équipement de combat, c’est à dire, une armure de cuir trouée et mal-odorante, des pantalons matelassés et une épée de bois voulant, apparemment se casser pendant que j’aurai le dos tourné. Je m’assis dans les gradins après mon combat où j’étais le vainqueur, presque à chaque fois, dois-je me venter. Le prochain tour était à Richard D’Ascasso, un homme en qui j’avais mis ma complète confiance et aussi mon amitié la plus dévouée. Le rouquin était toujours souriant malgré ce qui lui arrivait, peut importe la gravité. C’était le type le plus joyeux des terres entières, pourtant ils n’avaient pas décidés de le garder sur celles-ci. Richard n’avait pas eu de veine en apprenant qu’il se battrait contre des meilleurs garde de toute la prison. Le rouquin voulu lui serrer la main en signe de respect mais l’autre n’était pas aussi joyeux luron qu’il aurait pu l’être, il empoigna la main de Richard et d’un mouvement sec, lui cassa le poignet en tournant très rapidement sa main dans le sens contraire qu’elle devait aller. Il tomba à genou sous la douleur, un violent coup de pied au visage s’en suivit pour enfin se faire marteler de matraque jusqu’à ce qu’on voit son cerveau dégouliner sur le sable maintenant rouge. Je ne vis bientôt plus rien, la rage m’aveuglait. Je bondis de mon siège, les gardes près de moi n’eurent pas le temps de m’attraper, je devais sauver la seule personne avec qui j’avais de l’affection. Le garde ne me vu pas venir, je lui sautai dessus comme un animal enragé par le sang et lui transperça l’œil de mon épée de bois, un exploit que je ne pourrais refaire. Un cri retentit mais je continuais de frapper le meurtrier de mon bâton, bientôt je vis le même résultat qu’il était advenu de mon ami, il en saignait des yeux et de toutes les orifices du visages où le sang pouvait couler. On me colla au sol et m’emmena à la salle de torture sans tarder. Je n’eus pas le forfait deux pour un, aujourd’hui mais plutôt le 10 pour un, un record que personne n’avait jamais eu. En me torturant on m’apprenait que ma sortie serait prolongée. Je serais encore prisonnier un jour avant d’être brûlé vif au bûcher de la rédemption, tôt à l’aube le lendemain.

Bien sur, j’avais la trouille, qui peut bien ne pas avoir les chocottes quand on sait qu’on va mourir et ce très bientôt ? Personne, à mon avis, si on a pas peur c’est qu’on est sûrement déficient mental ou qu’on pense qu’un vie meilleure nous attend, cependant, moi, pour ma part, je ne croyais et ne crois encore aujourd’hui en rien. Le néant m’attendait sans possibilités de retour dans ce monde. Je restai silencieux dans mon antre, je ne pu dormir, bien évidemment, personne ne se demande pourquoi. Je regardait, mon ami, le soleil se coucher mais lui allait se lever demain matin à comparer de ma personne qui allait brûler comme du vulgaire papier. Puis, c’est alors que, j’entendis un son bien familier à mes oreilles, c’était le son des clés du geôlier qui, apparemment, faisait sa ronde. M’attendant à un sarcasme de sa part, comme à l’habitude, je ne vis personne, au tout début, personne à part un chien qui tenait dans sa gueule les clés tant convoités. Sa belle fourrure noire bleutée perlait presque les torches qui éclairaient le corridor de pierre. Il me regardait sans bouger, comme s’il attendait quelque chose. Je me levai, doucement sans faire de mouvement brusque, pour ne pas l’effrayer mais il ne broncha pas, il ne bougea même pas un poile. Je m’approchai de plus en plus près du chien qui, due à la forme de sa gueule, semblait me sourire. Quand j’arrivai à proximité, il déposa les clés près de ma porte dans l’intention de m’aider. Je le flattai en ramassant les clés quand, soudain, quelqu’un botta le chien avec force, assez pour mettre chaos l’animal. Le geôlier me regarda avec une colère noire dans ses yeux, il essaya de m’agripper au travers des barreaux, une grave erreur, je pris sa main et la tira vers moi d’une force que ne croyait pas avoir, l’homme resta prit entre deux barreaux, je profita donc de ce moment pour prendre les menottes à sa ceinture et lui attacher l’autre main, d’un mouvement vif, encore là, aux barreaux. J’ouvris la porte grâce à la clé et dévala le corridor en courant. Puis, je m’arrêtai sur les autres prisonniers qui demandaient mon aide. Certains avaient l’air innocent et d’autres non, je ne fis pas de distinction puis que j’ouvris toutes les portes que je pu. Bientôt, une vingtaine ou une trentaine d’homme courait pour s’échapper de cette prison. Nous arrivâmes dehors sous une nuit sans lune, l’obscurité serait notre alliée. Je ne sais pas si nous avions de la chance mais un grand bateau à deux mâts se tenait bientôt devant nous, personne ne prit le temps de se demander si quelqu’un connaissait la mer, tous ce réfugièrent sur le vaisseaux. Je n’eus le temps de penser que je verrais plus jamais cette affreuse prison que je sentis quelque chose d’humide tremper ma main, le chien me lichait les doigt. Je m’accroupis et le remercia en le flattant de bon cœur.

‘‘Tu es le meilleur chien que j’ai rencontré de ma vie, comment pourrai-je te remercier ? Je vais commencer par te trouver un nom ? Que dirais-tu de Ombre ? Hein ? C’est super comme nom .’’

Le chien éternua fortement pour montrer son désaccord.

‘‘Ce sera Éclair, alors.’’

Il gémit de plus belle.

‘‘Heu… Jay comme la gemme, tu vois ?’’

Il secoua son pelage rudement.

‘‘Hm… Alors, que dirais-tu que je t’appelle…Ascasso, comme mon ami ?’’

Il jappa mais cette fois de joie.

‘‘Alors tu sera Ascasso, je suis enchanté.’’

Ascasso s’assit et donna la patte comme pour saluer son nouveau maître, en l’occurrence, moi.


Les hommes du bateau me regardèrent, certains avec un air qui ne me disait rien qui vaille. Puis, tout à coup, un homme s’avança, un grand colosse d’au moins deux mètres de haut avec la peau foncée. Il me regarda droit dans les yeux... Pendant un long moment je me demandais ce qu’il allait m’arriver, puis, il prit ma main, la leva dans les airs et cria haut et fort :

‘‘Vive le capitaine Kane !’’

Les anciens prisonniers répondirent à l’appel du colosse :

‘‘Vive le capitaine Kane !’’


Après le long moment à festoyer, les hommes se regardèrent mutuellement et un posa la question qui se devait d’être poser.

‘‘Et où allons-nous donc, capitaine ?’’

Voyant ma difficulté de répondre, le colosse répondit, ayant, apparemment, une grande connaissance des eaux.

‘‘Il paraîtrait qu’il y aurait un continent à plusieurs lieus d’ici. Ces terres se nomme les terres de Fanam. Nous n’avons qu’à y aller.’’

Tous se mirent d’accord et le bateau navigua. Pourtant, les terres de Fanam ne se présentèrent pas à nous, nous débarquions à chaque village pour nous remplir de nourriture et nous payer du bons temps pour quelques légers services qu’on rendait à la communauté. C’est alors que vint en jeu la chose qui me tien le plus à cœur, à part Ascasso, la piraterie. La vie de pirate est très excitante et assez payante mais nous, en bons pirates que nous sommes ne pillions que rarement d’autres bateaux, en fait, je dis rarement mais c’était vraiment souvent. J’appris à me battre à la rapière et j’entraînai mon chien au combat du fait même, je savais frapper aussi vite que l’éclair et ce même plus rapidement que quiconque de mes hommes. La discrétion et le vol je l’appris en ville quand nous débarquions du bateau pour aller s’amuser aux dépends des gardes, je me cachais sous les ponts dans les ombres et le ruelles et même sur les toits après un petit tire à la bourse avec quelques généreux marchands et bourgeois. Parfois, quand nous étions remplient d’amour et surtout d’or, nous en donnions aux pauvres des villes pour assurer leur survie pendant un bout de temps. J’aimais faire le bien mais j’aimais de loin la piraterie. Ce n’est que quatre années plus tard pendant une belle nuit d’été qu’on me surprit. Les hommes voulait le dernier butin à eux seuls et surtout, ils avaient organisés une mutinerie pour me détrôner du podium qu’était le grade de capitaine du navire. On m’enroula dans une couverture et on me balança par-dessus bord. Le seul qui eu le courage de me suivre était Ascasso, mon fidèle ami. On me lança un baril pour tout de même m’empêcher de me noyer et on me salua en fêtant sur mon ancien navire. Mon équipement tout mouillé, un baril servant de bouée, quelques pièces d’acier en poche et Ascasso sur mes traces, je naviguai jusqu’à une étrange plage dont je ne savait même pas le nom mais qui me serait révélé plus tard étant…Les terres de Fanam.

*Nom et prénom: Ascasso

*Âge: plus de 4 ans

*Race: Chien

*Alignement : Neutre comme son maître.

*Description physique:Il a une fourrure remarquable qui semble noire, à première vue, mais si on regarde de plus près on s'apercevrait qu'un teint bleuté se mélange à la couleur sombre.

*Description psychologique: La psychologie d'un chien qui aime son maître plus que quiconque.

*Histoire : Aucune de connue avant la rencontre de Joseph Kane

Si il y a lieu, pouvoir: Aucun

Talent: Tout ce qu'un chien à comme talent.

*Faiblesses : Tout ce qu'un chien à comme faiblesse

Croyances : Son maître ?

Pv: 2 (C'est mon choix mais ça va avec l'administration)