Le savoir noir

Samael arriva sur la place marchande toujours aussi sur de lui. Puis regarda les environs car le vampire cherchaient quelque chose en particulier. Ou plutot quelqu'un qui pourrai lui apprendre ce qu'il a toujours voulu savoir. Un petit commerce attira son attention l'endroit étais sombre et une aura de malveillance l'entouraient. Samael débarqua de sa monture et dit a son patin de l'attendre dehors et de ne pas bougé.

Le vampire entra dans le commerce puis éleva un peu la voix.

- J'aimerai avoir des informations sur mon épée si cela est possible.

Le vampire dit cela sans même savoir si il étais au bonne endroit. Samael dégaina Fridera puis la regarda.

La druide en décomposition était toujours a l'écoute de son maitre elle resta en place sauf qu'elle regardait autour d'elle et semblait a pleurer puis se remit a pleurer de chaudes larmes. Plein de gémissement bizarre sortait de sa bouche mais aucune parole elle ne bougea pas ou presque elle cacha son visage dans ses mains remplis de son sang. Elle obéissait même si elle aurait aimer être plus a l'écart des autres. Elle pleurait tout en attendant Samael comme un chien pleurant son maitre.

Le personnel semblait tarder sous le kiosque de Samael. C'est alors qu'une brûme famillière apparut derrière le vampire et sa marionette. Elle se transforma en homme armuré de la tête au pied, celui-ci s'accôta à un kiosque quelconque...Il voyait que la magie de Rak'Shak, plus expérimenté que la sienne, avait marcher. Après tout il était plus près du Mal que lui, Rangdor, Archmage... Il laissa Samael finir sa transaction avant de lui parler, de toutes façons il n'était préssé...Loin de là...Il n s'impatientait que de réveler la nouvelle au Vampire...Pourquoi pas, ça pourrait l'ntérresser? Il attendait une réponse de Samael pendant qu'il regardait la Crieuse qui lui rappelait drôlement quelqu'un.

Le marchand était un homme dans la quarantaine avancé. Ses tempes grisonnantes indiquaient ses longues année de pratique. Il était calmement assis au fond de son kiosque, les jambes croisés et il jouait avec une pièce d'or. Il la faisait rouler entre ses doigts sans arrêt. Lorsque Samael débarqua, il ne releva la tête qu'après un certain moment.

N'ayant visiblement peur de faire attendre personne, il prenait tout son temps. Lorsqu'il leva finalement les yeux vers lui, Samael comprit que ce marchand n'avait rien d'humain. Il n'était qu'une carapace à autre chose de bien plus noir. Ses yeux étaient noirs, pas juste l'iris, mais même ce qui devait être blanc était noir en entier. On aurait dit qu'il s'était versé de l'encre dans les yeux. Il était habillé tout de noir, mais d'une somptueusité à faire pâmé les rois. Machinalement, sa pièce tournait toujours entre ses doigts. Il n'avait jeté à l'épée qu'un rapide coup d'oeil. Cela semblait lui avoir suffit car il parla d'une voix assurée. Une voix grave qui portait loin, il semblait être un meneur d'homme naturellement.

-Cet épée, a une grande valeur monseigneur. Les informations la concernant ont un prix... Qu'avez-vous à m'offrir sinon votre minable argent dont je ne ferais rien ?

Il releva de nouveau les yeux attendant l'offre du vampire.

Des émotions différente traversaient le visage du vampire. Comme a chaque fois que le dieu noir ressentaient de nouvelle émotions. Samael étais soudain colérique. Quelque chose sur les terres avaient probablement déplus à Nérévor.

Samael ce calma alors puis regarda ce qui étais d'apparence un homme puis prit parole
- Ce que j'ai a vous offrir !? Je serai prêt a vous offrir ma futur conquête le château des vampires et tout les richesses qu'elle contienne. Un royaume maudit que pour vous en échange de cette information.

Le vampire siffla puis sa monture entra dans la place.

- J'aimerai aussi savoir tout les capacité de cette magnifique créature et en échange peux importe le temps que sa me prendra je vous offre en esclavage une ange...Que Naryss elle même a bénit. Cela vous plaierai t'il ?

Samael ce mis a rire...Imaginer pouvoir torturé la création d'une dite déèsse et cela comme bon vous semble !

Samael regarda l'homme dans les yeux.

L'homme médita longuement sur les paroles de Samael. La pièce dans ses mains tournait toujours puis elle s'arrêta brusquement alors qu'il l'attrapait agilement.

-Sache vampire, que toute les richesses du monde ne m'attirent pas. J'ai déjà bien plus que ce que je pourrais souhaiter sur les biens matériels. Sache également que je ne suis pour le compte de personne sinon le miens. C'est une chose importante à retenir...

Il recommença à jouer avec sa pièce comme si l'instant d'humeur était passé.

-Ton château ne m'intéresse pas, ni ceux qui l'habitent, garde les tu en auras besoin un jour. Par contre l'idée d'une servante soumise telle un misérable chien à mes pieds me tente plus. Cette ange dont tu parles, tu crois pouvoir me l'amener, j'aurais besoin d'elle pour... Pour affaires personnelles. Si tu me l'amène tu auras les informations sur ton épée et ta monture. Pour le moment, va me chercher n'importe qu'elle jeune femme et tu auras un début d'information, question de te prouver que je ne te ment pas...

Samael ce mis a rire au éclat. Il sorite de l'endroit d'un seul coup. Il regarda la place du marché de son regard emplie de haine. Il vit une jolie jeune femme au cheveux doré. Pas trop grande nis trop petite. Ses yeux d'un bleu si parfait reflaitaient la bonté dont elle faisaient part en élevant ses jeunes enfants. Elle étais accompagner de son mari. La jeune femme étais âgé de 20 ans pas plus et semblai être une femme attentionner.

Samael s'avanca d'un seul planta Fridera dans le dos de l'homme. Puis d'un revert trancha la gorge de l'un des enfants puis d'un coup de poing fenda le crane de l'autre. Il s'empara alors ensuite de la jeune femme et la tira vers un endroit sombre. Il mis sa main froide sur la bouche de la demoiselle.

Certe le public avais plus apercevoir ce qui c'étais passé mais les gens beaucoup trop appeuré n'osairent point réagir. Quand le tout ce calma le vampire ce dirigea vers le marchand. Il entra dans l'enceinte puis le regarda un sourire carnivore au lèvre.

- Cela fait votre affaire !?

Samael attendai la réponse.

L'homme jouait toujours avec sa pièce et lorsque Samael jeta la femme à ses pieds, il arrêta de nouveau de jouer et la regarda un moment. Lentement, extrêmement lentement, il avança la main vers elle et lorsque la jeune femme croisa son regard, elle arrêta soudainement de pleurer et de tenter de se débattre. Il tourna sa main et lui fit signe du doigts d'avancer vers lui.

Elle tomba au sol à quattre pattes et sans hésitation se traîna vers lui. Lorsqu'elle arriva à proximité, il lui flatta les cheveux puis la regarda avec dégoût.

-Si faible les humains... C'est à se demander comment font-ils pour survivre, il me lève le coeur... Mais que dis-je je n'ai jamais eu de coeur, je l'ai mangé à ma naissance pour survivre.

Il sembla trouver sa plaisanterie plutôt drôle et alors que la jeune fille se pâmait devant lui il se leva finalement. Il en imposait, sa stature dépassait largement les six pied et sa carure semblait celle d'un sportif aguérri. Il jeta de nouveau un coup d'oeil à l'épée puis il se pronnonça doucement.

-L’épée est une plume arrachée du grand oiseau de feu. Elle a été incorporée dans une lame forgée en enfer par Nérévor lui-même après avoir cru détruire le phénix de feu. Phénix qui s'était en fait réfugié dans le corps de la promise de Nérévor Drivalia. Quant à ta monture... Une fois son maître choisi, d’une fidélité inébranlable. Ces créatures détestent l’affection et ne vivent que pour se battre et détruire les ennemis de son maître. Je t'en dirai plus lorsque tu m'amèneras l'ange.

Il se retourna et alla vers la jeune femme qui était toujours au sol. Toujours d'un simple doigts, il la releva vers lui, elle tentait désespérément de s'accrocher à lui alors qu'il lui tenait fermement le cou. Il approcha son visage du cou de la pauvre femme et sa longue langue lui lècha le cou jusqu'à la base du visage. Il émit un petit son de satisfaction puis il l'a mordit sauvagement au cou. Samael l'observait, il ne semblait pas boire son sang, la malheureuse semblait se viter d'autre chose. De son énergie ou quelque chose dans le genre. Sa peau se rattatinait à vue d'oeil et bientôt il la laissa tomber comme une carcasse insignifiante, elle s'insinéra avant de toucher le sol et il ne resta plus qu'un petit tas de cendre. Les veines du visage de l'homme avaient gonflées et il tremblait légèrement comme sous l'emprise d'une nouvelle force qui circulait en lui.

Il respira longuement et retourna s'asseoir sur son siège pour jouer avec sa pièce.

» Colère noir.
» Le chêne noir des pendaisons