Bienvenue

L'auberge est une immense propriété faite de bois rond. Elle possède précisément dix-sept chambres toutes plus majestueuses les unes que les autres. Il y a également un restaurent-taverne, une salle de repos et une grande terasse face à la mer. Lorsque vous y entrerez vous risquez de trouver l'aubergiste, Florence accoudé au comptoir ou entrin de le nettoyer...

-Ém bien le bonne jour! Soyez tous lé biennevenou dans m'mon auberge! N'ésitez pas si vous voulez quoi qué cé soit, oune chambre, dé la nourritoure ou oune coupe dé mon bon vin! Mais né salissez pas m'mon plannecher!

Un homme decendit de sa monture a l'exterieur puit ordonna a celle-ci de l'attendre.

Lentement un reflet d'humanoid fut visible dans la porte de l'auberge et on pu apparaitre un homme avec une grande armure de metal noir avec une chauve souris graver a l'avant et deux épées longues a sa tailles entrer. l'homme avait un capuchon sur ca tete et malgré la lumiere de l'auberge personne ne pouvait voir son visage.

Lentement il se dirigea vers l'aubergiste...


-Bonsoir, mademoiselle.

-Je desire le meilleur de votre vin... dites moi votre prix.

Florence nettoyait le comptoir quand l'homme lui adressa la parole.

-Bonsoir, mademoiselle. Je désire le meilleur de votre vin... dites moi votre prix.

Elle lui adressa un sourire et répondit:

-Ém bienne asseyez vous donc mon bon monsieur! Jé vous l'apporté tout dé suite, laissez moi vous dire qué cé oun excellent chouax!

Florence parti dans l'arrière boutique et revint une bouteille de vin à la main. Elle prit une coupe et versa doucement le vin dedans en ajoutant:

-Lé prémier verre jé vous l'offre! Mais lé deussième il faudra mé lé payer! Ça féra 10 pièces d'or pour la boutéille au commeplet!

Elle lui fit un clin d'oeil à la barmaid et retourna à son nettoyage du comptoir.

Il prit le vin et prit le temps de le sentir.

-il y a fort longtemps que je ne suis pas sortit de chez moi, je crois que ce village va me remettre sur pied.


Il retira sont capuchon et laissa apparaitre clairement qui il etait, le seigneur du mal, le roi des vampires.


-Je vais prendre une chambre ici ... en attendant. il deposa 100 pieces d'or sur le comptoir. je crois que ca payera votre chambre et mes bouteilles de vins.


-Mais dites moi, y a t'il des jeunes gens qui frequente cette auberge ?

Il attendit la reponse et but son vin.

-Il y a fort longtemps que je ne suis pas sortit de chez moi, je crois que ce village va me remettre sur pied. Je vais prendre une chambre ici ... en attendant. il deposa 100 pieces d'or sur le comptoir. je crois que ça payera votre chambre et mes bouteilles de vins. Mais dites moi, y a t'il des jeunes gens qui frequente cette auberge ?

Florence releva un sourcil et l'observa un moment perdue dans ses pensées. Elle revint brusquement à elle et reprit contenance.

-Ém bienne ma foi il y a lonnetemgs qué jé n'avais pas vu dé vampire! Sachez qu'ici tout lé monde sont les biennevenou tant qu'il né font pas dé grabouge! Par lé calmaré géant mais d'où avez-vous eu tout cét argent méssire! Céla souffit emplément à avoir tout cé qué vous voulez! Jé vais vous donné ma méilleur chambre.

Elle regarda autour d'elle et hésita un instant songea au répercusions de ses paroles.

-Ém bienne en cé qui conserne lé jone gens il y en a comme partout hein! Ils viennent tous lé soirs, il souffit d'être patient! Pourquoi voulez-vous les voir si céla n'est pas trop innediscret messire

Il eut un sourire en coin.

-vous devez avoir en tete que je veux les tuers et prendre leur ames ...


-Non, je ne suis pas de ce style la ... du moins pas pour encore 6 mois.
je ne fais que venir voir la populace et pour repondre a votre question sur l'argent, je suis Alexandre, le Roi des vampires.

J'aimerais que ma monture soit a l'abrit si vous etes capables de faire ceci.


Il la regarda droit dans les yeux puis continua :

-Une si belle dame devrais pouvoir trouver un abris pour ma monture n'est-ce pas ?

Florence l'écouta parler avec curiosité. Les seuls vampires qu'elles avait rencontrés s'était révélé dangereux et sans pitié, elle avait apprit à ne pas leur faire confiance. Malgré tout, lorsqu'elle croisa son regard, elle sentit toute sa méfiance s'envoler. Elle se senti rougir et s'entendit répondre cela:

-Jé...Jé...

Elle respira et reprit un peu plus contenance.

-Jé peu bienne faire céla pour vous messsire.

Elle fit signe au valet qui l'aidait à tenir l'auberge de venir.

-Toi va méttré lé chéval dé messieur enne sécourité pour la nouit! Allez vite la pauvre bête elle va m'mourrir dé froid j'ai ennetendou diré qu'il allé plévoir!

Elle avait dit tout ça sans pouvoir détacher son regard de celui du vampire. Elle ajouta en bafouillant un peu:

-Vénez donc avec moua jé vé vous montrer votré chambre commé ça jé vais pouvoir rétourner à m'mon hmm.. travail.

Elle souria bêtement et lacha un petit rictus.

Au moment ou elle dit que son cheval allait mourrir il pensa au fait qu'il etait deja mort... mais il n'en dit rien.

-Je vous suis ma charmante dame.

Rendu a ca chambre, il attendit qu'elle ouvre la porte puit il l'aggripa doucement par les hanches et l'amena a l'interieur et refermit la porte.

Florence s'était réveillé de bonne heure à moitier amnésique. Elle ne se souvenait que trop peu de chose mais savait qu'elle n'aurait pas du faire confiance au vampire par instint. Elle était allé se laver et se rhabiller dans ses quartiers puis elle redescendi pour une autre journée de travail comme hypnotisé. Elle le vit à une table et elle évita soigneusement son regarrd en se rendant derrière le comptoir. Elle nettoyait nerveusement le bar attendant que les clients matinales arrivent.

Alexandre regardait avidement l'exterieur et detestait de voir le soleil se lever ainsi, son royaume etait en ce moment meme endormit et il etait le seul de sang pure qui pouvait sortir de jour.


- Florence, j'aimerais encore du vin je te pris...

Il prit le temps de la regarder et evaluait lentement ces sentiments.

Elle sentait a plein nez la crainte, qu'est-ce qu'il y a de meilleure que l'odeur de la crainte le matin !

Elle sursauta lorsqu'il l'appella. Elle respira un bon coup et s'approcha avec sa bouteille.

-Ém bien voila messire.

Elle baissa les yeux autant par honte des petis souvenirs qui lui revenait en mémoire que par désir de ne pas se refaire envouter.

-Voulez-vous autré chose!?

De sa main libre elle frotta son cou encore douloureux et grimaça lorsqu'elle toucha les deux petites cicatrices encore un peu sanglante.

Il la regarda avec un sourire en coin.

-Rien que je n'ai pas deja merci ...

il la regarda fixement avec son sourire moqueur.

- j'ai bien hate de voir le reste de la clientele, j'ai beaucoup de chose a dire.

Il but une gorger de son vin.

Elle détourna le regard vers la fenêtre, elle aussi avait hâte de voir entrer la clientèle. Elle tremblait légèrement mais se ressaisit vite. Elle n'était pas femme à se laisser impressioner aussi facilement. Elle respira longuement et répondit:

-Ils né dévraient pas tarder.

Elle se tourna pour repartir vers son comptoire la bouteille de vin à la main.

Il se concentra un peu pour faire sentir ca presence maléfique a la jeune dame.

-S'il vou plait, laissez moi donc la bouteille.

puit-il cessa ce petit sortilege, il avait decidez de lui montrer que ca vie etait a son depends et qu'elle ne devait pas le decevoir.

Elle frissona sans raison alors qu'il lui demandait la bouteille. Elle s'approcha doucement les yeux fixés au sol immaginant les pires scénarios. Elle déposa la bouteille sur la table et se retourna de nouveau pour partir. Elle avait un malaise évident en sa présence et elle priait Lérana de survivre à cette histoire.

Son cou la faisait de plus en plus souffrir elle se frotta de nouveau comme si cela apporterait quelque soulagement que ce soit.

Il la regarda et decida de s'amuser un peu.

-Si je te donne le choix de te rapeller tu voudrais te rapeller ?


-tu ne deviendra pas une de ma legion si tu as peur de cette eventualité...

-Je suis quand meme Courtoi, je ne tue pas sans raison. surtout que ton vin est bien bon, dit lui merci.

Il ricanna un peu puit fit un mouvement de la main pour lui faire rapellez tout en detail dans ca tete.

Elle se senti défaillir lorsqu'il mentionna ses souvenirs. Il y avait donc effectivement quelque chose à se rappeller.

-Tu ne deviendras pas une de ma légion si tu as peur de cette éventualité...

Non elle n'avait pas peur de ça, elle avait peur de mourire, n'est-ce pas le réflexe de tout humain, d'avoir peur de la mort, la vrai mort pas de celle où on se relève.

-Je suis quand meme Courtoi, je ne tue pas sans raison. surtout que ton vin est bien bon, dit lui merci.

Elle eu un nouveau rictus, si c'était son vin qu'il aimait elle pouvait bien lui en donner autant qu'il en voulait pour qu'il parte. Mais où était donc son valet, il n'était pas bien fort mais elle aurait eu plus de courage si elle n'était pas seule avec cet Alexandre.

Lorsqu'il eut le mouvement de main qui lui ramena brûtalement la mémoire elle eut d'abord envie de hurler de douleur mais se reteint se mordant la lèvre au jusqu'au sang. Les souvenirs lui revinrent un à un à l'esprit. Elle chancela, ses jambes tremblantes tout d'un coup. Les moments de la veille lui rappelèrent douloureusement son malheur et elle étouffa de nouveau un cri.

Alexandre avanca lentement sans faire de bruit tel une ombre vers elle et la saisi par les epaules lentement et lui murmura :


-C'est fini petite florence, pour longtemps.

Je ne veux plus que tu me craigne, meme si cela peut t'etre difficile, etant donner que ton sang a couler dans mes veines je te considere comme une de mes filles, combien de personne que tu connais peu clamer etre proteger par le roi du mal lui meme ?

N'aie pas peur, je ne te ferai plus aucun mal.

il avait de tout ce que sont visage pouvait exprimer, l'air serieux.

-C'est fini petite florence, pour longtemps. Je ne veux plus que tu me craigne, meme si cela peut t'etre difficile, etant donner que ton sang a couler dans mes veines je te considere comme une de mes filles, combien de personne que tu connais peu clamer etre proteger par le roi du mal lui meme ? N'aie pas peur, je ne te ferai plus aucun mal.

Ne pas avoir peur!? Comment voulait-il qu'elle n'ait pas peur!? Savait-il seulement ce qu'il lui avait fait subir? Si il fallait endurer ça pour avoir de la protection, elle s'en passerait volontiers. Pensait-il qu'elle serait éternellement un dinner portatif..!? Elle esseya de se débattre un peu mais ses forces l'abandonait rapidement, elle avait perdu trop de sang la veille. Cela lui faisait mal au coeur de s'en rappeller. Elle gardait les yeux fermés pour être bien sur de ne pas croiser son regard, mais elle résistait à la tentation car elle était tout de même, de nature curieuse.

Florence était à bout de force lorsqu'elle entendi un petit bruit. Elle retourna doucement la tête évitant toujours de le regarder. Elle pensait, pour vu que ce soit un client. Elle fut d'abord dérouté en appercevant rien puis elle vit dépasser d'une table une queue de chat. Elle soupira d'exaspération avant de remarquer qu'elle était un peu trop grosse pour être à un chat. Ces à ce moment qu'elle remarqua l'étrange petit visage aux oreilles de chat qui les observait.

Elle se libéra des bras du monstre en disant avec le peu de force qui lui restait:

-Voyez messire, j'ai dé clients! Laissez moua m'occouper d'oeux mainnetenant sil vous plé.

Alexandre regarda le visage de florence lentement et eu un sourire en coin.

-Bien evidement, je vais te laissez travailler ma petite florence...

Il fit un mouvement de main vers le bas et tout son armure metalique noir et ces armes retrouverent leur place originel.

Il se dirigea ensuite vers l'exterieur avec son capuchon bien disposé sur ca tete.