Dans l'auberge

Des bruits de chevaux appeurés se firent entendre de l'auberge à cet instant un des gardes en faction à l'intérieur si dirigea avec empressement malgré son armure vers l'origine des bruits. Lorsqu'il entra dans l'etable il découvrit avec horreur que l'un des chevaux de vente avais été à moitié dévoré. Lorsqu'il décida enfin d'aller voir de plus près une silhouette ténêbreuse apparu dans un coin sombre. Celle-ci avanca à grandes emjambés vers le garde en grognant et reniflant. Le garde allais hurler lorsqu'une main d'une force surhumaine l'empêcha d'ouvrir la bouche. Le malheureux tenta vainement de mettre sa main sur la garde de son arme mais l'homme en face de lui la retira de son foureau avant lui. Croyant que sa dernière heure était venu le garde décida de se débattre avec l'énergie du désespoir mais cela ne lui rendi rien hors mis un bon coup de la garde de son épée sur la tête. Après quelques secondes il fut réveiller par une odeur émouvantable émanant de l'ouverture d'une fiole tenu par l'inconnu. Dès que le protecteur de l'ordre réalisa que se n'était pas un terrible cauchemard il tenta de se relever mais la même main qui l'avais empêcher de saisir son arme le clouais au sol. Finalement l'étranger daigna adresser la parole au garde.

-Du calme jeune humain! Du calme! Si j'avais voulu te tuer tu n'aurais pas fais trois pas à l'intérieur. Dans le coin au fond à gauche de l,enclos où se trouve mon repas il y a une petite bourse contenant vingt pièces d'or, cela devrait suffire. Maintenant jeune homme va chercher se dont je t'ai parler immédiatement et va le porter à ta maitraise. Dit lui bien que je veux lui parler prestement.

Dès qu'il eu fini l'inconnu relâcha son emprise sur sa proie et le jeune détala comme un lapin pour accomplir se dont lui avais parler ce personnage.

Lorsque le garde rentra dans l'auberge en trombe et avec la figure de celui qui venait de voir la mort en personne beaucoup de gens s'interrogèrent. Ce dernier alla directement prévenir l'aubergiste de la présence de ce funeste personnage dans l'étable. Heureusement ce garde n'était pas le moins bavard de tous et la rumeur se répendit comme une trainer de poudre dans l'auberge comme quoi un prédateur occupait présentement l'étable.

les plus valeureux se levèrent les premiers pour aller chatier cet animal féroce. Mais lorsque beaucoup de nobles guerriers allais s'élancer à la reconquête de l'étable un sombre personnage tel le diable en personne fit son entré.Dès qu'ils l'appercurent tous, pratiquement toutes les voix dans l'auberge tombèrent. Le garde de tout à l'heure qui n'était certes pas celui qui avait la langue mieux pendue n'était certes plus le plus courageux car il alla se tapire dans un coin de la grande salle.

L'étranger renifla, grogna et dit quelques mots dans sa barbe avant de faire signe à l'aubergiste de le rejoindre.

Et là il attendais la reaction de l'aubergiste.

-

Metis qui revenait du chateau des vampires, arriva en forme animal, puis appercue Allystard.

Quoi! un autre comme moi! héhé

Metis s'approcha lentement.

-Bien le bonjour frere de race, je me présente Metis. je voudrais bien en dire plus ma mémoire fait défaillance en ce moment. Mais vous qui etes vous?

L'homme sur le seuil de porte ne fit, premièrement, que renifler quelques coups. Puis il pris une longue goulée d'air et il sembla qu'il la coutait en quelque sorte. Enfin, le prince se retourna et il dit d'un air grave:

-Lieutenant que faites vous ici? Aahhhhhhhhh.. peut importe aller à la vieille crypte tout au fond du cimetière j'ai a vous parlez. Dit que vous venez de ma part à Antarès il vous montrera le chemin. Pour l'instant j'ai à faire ici avec ces mortels.

Sur ces mots l'étranger ce retourna et regarda de nouveau vers l'aubergiste. Qu'il attendait avec impatience.

Florence venait de revenir de la fête du roi, auquelle elle n'avait pris aucun plaisir finalement. Elle avait crû sa dernière heure arrivée lorsqu'un autre vampire avait tenté de l'envoûter. Heureusement, elle avait été assez rapide et s'était enfui de justesse pour revenir à l'auberge. Elle venait seulement d'entrer lorsqu'on vint la quérir d'urgence. Elle allait s'y rendre lorsque son demandeur entra de lui même.

Elle s'avança prudemment vers lui hésitante puis tenta de se redonner contenance:

-Bounjour, éhm, oun ma dit qué vous vouliez mé vouar? Jé souis la propriétaire dés lioeux, que pouis-je faire pour vous ?

Elle lui adressa un faible sourire.

Le prince fit un bref signe de la tête puis renifla l'aubergiste. Comme s'il voulais être sur qu'il s'agisasait bien d'elle. Ensuite il prononca sa première phrase.

-Permettez un instant mais j'apprécirais que cette conversation reste privé.

L'aubergiste n'avais pas encore répondu à cette question que l'étrange personnage qui se trouvait en face d'elle mumurait d'étranges paroles et d'encore plus étranges simagrés.Puis il continua.

-Maintenant, que c'est fait nous pouvons parler librement. Je dois voir le roi des hommes de toute urgence. C'est capital! Malgré cettte altercation avec votre responsable de la sécurité pourriez-vous faire cela pour nos deux peuples. Je me sers de vous comme intermédiaire car le roi vous portes une confiance inébranlabre du moins selon les rumeurs. La deuxième raison est que je ne veux pas que nos amis vampiriques est vent de ce futur entretien. Dites-lui bien que je choisirez l'heure il choisira l'endroit. Sur ce je me dois de vous quiter malheureusement. La balle est dans votre camp.

les potenciels témoins de cette conversation n'eurent pas grand chose à aller colporter car après que l'inconnu eu fini de faire ces gestes bizarres les deux ne firent que ce regarder fixement durant deux minutes avant que le meurtrier du cheval ne se dirige vers la forêt. Même les oreilles les plus fines et ceux qui savent lirent sur les lêvres n'eurent rien à rapporter. Il semblait bel et bien qu'ils n'avaient fait que se regarder. Pourquoi ,nul n'aurait peut le dire hors mis peut-être ceux qui ont fait cette conversation.

Florence l'écouta débiter ses paroles en haussant un sourcil. Non mais, elle avait une auberge à faire tourner et pas juste ça à faire, courire sur tout le territoire humain pour faire les messages des autres! Elle se détourna avec indifférence lorsque l'étranger parti. Elle décida néenmoins dans toute sa bonté d'envoyer un message à Kariantor. Si ça peu sauver les humains, qu'est-ce que je ne ferais pas pour mon peuple...

Elle alla aux cuisines pour remplir son message puis le donna à un de ses employé en lui indiquant bien qui devait avoir le message. Elle retourna ensuite à son comptoir espérant mettre un peu d'ordre dans son commerce.

Environ une heure après l'arriver du roi dans l'établissement un vieillard pénétra dans l'auberge. Personne ne dis rien lorsqu'il entra mais tout le monde avais un certain air de dégout juste à le regarder. Ce dernier se dirigea vers la table juste après celle où le roi était assis présentement. Arriver à la hauteur du roi le vieux se pris les pieds dans sa tunique et trébucha. Pour se retenir il tenta de s'agripper au deux choses les plus proches de lui soit l'homme qui était assis sur sa droite eet une chaise quelconque sur sa gauche.

Voyant ce dernier trébucher, le roi n'eut d'autre réaction que de tenter de retenir le pauvre homme. L'individu s'agrippa aux habits de sa majesté mais curieusement le roi sentit que le vieillard avait déposer quelque chose dans sa poche lorsque l'empoter avait tomber.

Le vieux après s'avoir rendu volontairement rédicule se redressa et il se dirigae vers la porte en exposant une moue déconfite et honteuse à ceux ou celle qu'il rencontrait sur son passage jusqu'à la porte.

quand le roi fut bien sûr qu eplus personne ne portais attewntion à ce vulgaire petit incident de routine. Soit environ quinze minutes plus tard il glissa sa main dans sa poche pour en resortir un petit bout de parchamin rouler à la perfection contenu dans une fiole de verre. Kariantor prit donc l'initiative de feidre qu'il allait à la salle de bain pour lire le document. Rendu à ce lieu précis il ouvrit la fiole ,en retira le contenu et déroula le message sur lequel était écrit.

< Venez me revoindre derrière l'entrepot

Kariantor sortie des bé causes puis alla voir florence afin de pouvoir ce renseigner sur l'entrepôt. En parlent à florence il prit un faut accent afin de ce camoufler dans sont costume pour ne pas ce faire reconnaître.

-excuse me mademoiselle florennece pouis-je savouaire s’il y a one entrepôt non loin ?

Finalement Aramond sortit de sa chambre (haha dsl du délais) il y était resté longtemps pour se retirer un instant du monde extérieur et prier son dieu. Il alla s'asseoir au comptoire puis dit:

-Bonjour Florence sa va bien ?

Florence regarda l'homme un moment en haussant un sourcil puis dit finalement:

-Ém il y a bienne oun entrépot, mais cé sont més réservés vous n'avez rien à y faire! Il sé trouve à l'arrière dé l'auberge, mais tout ést vérouillé!

Elle s'excusa puis parti voir Aramond qu'elle avait tout de suite remarqué lorsqu'il était entré. Elle lui adressa un sourire radieu et répondit à sa question.

-Ém moun bonne Aramound! Jé vais trés bienne et vous, céla fait oun moment qu'on né vous a pas vou par ici ! Vous avez passé beaucoup dé temps dans votré chambre, êtes-vous au courant dé la guerre qui vienne tout jouste dé sé déclarer entré les vampires et les houmains ? Nous allons avouar bésoin dé vous!

Kariantor ce dirigea vers la sortie puis il regarda
florence avant de sortire de l'auberge.

-Thank you very much mademoiselle Florennece.

Ensuite Kariantor sortie mais il avait oublier de
prendre sont accens en remercient Florence...

aramond eu l'air surpris et déconcerté il avait passer un peu de temps dans sa chambre pour se receuillir et en si peu de temps une guerre s'était déclarer et on avait deja besoin de lui

-non qu'est ce qui se passe vous allez devoir m'expliquer tout cela

Florence le regarda un peu découragé devant la tache qui lui revenait de lui expliquer la situation.

-Jé vais vous dire cé qué jé sais jé né pouis vous garantir qué cé sont toutes dé bonne inneformatiouns. Vous vous rappélez lé bal organisé par Kariantor? Ém bienne oun ma dit qué lé dioeu Nérévor aurait apparou pour déclarer la guérre entre ces races! Enfin, lé roua sérait entrin dé former dés allianneces avec les autrés poeuple pour sé défendre! Vouala pourquoi jé vous disais qu'oun paladin commé vous sérait outile! Les vampires vous craignent!

Elle lui souria et déposa sa main sur la sienne.

-Né décévez pas lé poeuple houmains, nous avouns bésouin d'homme tél qué vous.

Elle le regarda, l'implorant du regard.

(hj ce message est celui de Fëanáro Carnesîr qui a été déplacé faute d'être au mauvais endroit et petit nb pour Fëa il y a une aubergiste dans cette auberge, attend qu'elle te réponde et ne le fais pas à sa place alors disons que pour l'instant tu as parlé à un de ses employés)

->> Mer

Fëa avait eu la chance de se téléporter jusqu'ici, mais se dernier ne le fit pas... Il avait décider de marcher comme tout le monde quoi? Alors c'est ainsi qu'il se rendit à l'auberge, pour se prendre une chambre6 Non, simplement prendre un verre tranquille... Il aurait pu se le faire apparaître, mais il voulait faire connaissance avec des gens et peut-être.. .TRouver celle qui ferrait battre son coeur?

Il entra donc en poussant la porte de l'auberge, l'ambiance était-là... C'téait pas trop bruyant. Il s'approcha du bar.

-Vous dérirez?

Demanda celui dérrière le bar.

~Votre meilleur vin...

-Je vous apporte ça tout de suite!

fëa lui sourit et attendit, il se retourna pour regarder de nouveau l'auberge... Il aimait bien cette endroit, mais certes, cela ne pouvait être comparable à la mer d'où il venait à l'instant. L'homme lui apporta sa coupe de vin et Fëanáro paya la note et le porta à ses lèvres et y gouta, il était délicieux, mais cela ne compétitionnait pas avec le vin que son père faissait...

Il sentit quelqu'un s'approcher... Il attendit que cette personne parle avant de le saluer, car il voulait quand même se méler à la foule...

Quand Florence posa sa main sur la sienne Aramond devenu rouge mais continua de l'écouter attentivement puisque s'était important. Puis il dit

-je veux bien aider mais a moi tout seul je ne peux pas faire grand chose contre une armer il faudrait réunir beaucoup de monde, que se soit des créatures ou des humains tout ce qui luttent pour le bien devrait se joindre a nous

Florence le regarda avec compréhension puis lui dit:

-C'ést ce qué nous ésséyions tous dé faire. Kariantoré envoua des méssage aux autré poeuples et on dit même qué cértain dioeux nous aides... Mais rien n'ait mouains sour. Vous êtes un de ceux qui peuvent nous aider, j'ai counfiance en vous messire Aramound. Vous dévrier parler au roua Kariantoré, il vous aimerait jé souis sour.

Elle lui fit un sourire puis se tût.

Aramond aquiesqua puis dit

-je suis sur que Thor sera avec nous dans cette grande bataille...

Aramond reprit un petite pause pour réfléchir puis finalement dit

-soite j'irai parler a votre roi mais je devrai avoir quelqun pour me guider jusqua lui parce que je ne sais point ou il peut etre ou meme ou est sont chateau

Florence songea un moment à sa demande puis souria sous le coup d'une idée.

-Alfréd moun aide pour més marchannedises, il connaît bienne lés térres, il pourrait vous vous guider vers lé château dou roua!

Elle lui souria.

-Qu'en pensez-vous ?

Aramond renvoya le sourire a Florence

-eh bien cela me convient tout a fait j'ai deja hate de le rencontrer, je partirai le plus tôt possible, sur le champ meme si ce cher Alfred le peut bien sur. Sur ce je vais aller préparer mes bagages

Il se leva et se dirigea vers sa chambre et commenca a ramasser le peu de choses qu'il possédait

Vers l'heure du souper, le moment où l'on sort les jeux de cartes, le temps où la bière coule à torrent et l'instant où l'on rigole de bon coeur. Hé bien c'est exactement à cette que le rpince des loups garous fit une deuxième entrée dans les lieux. Ceux qui l'avait déjà appercu trouvait qu'il avait pris un coup de vieux ou du moins quelques bonnes balafres à de multiples endroits. Un silence significatif se fit alors dans la pièce puis le noble parla d,un ton posé pou une fois.

-L'heure est à la l'épée et au sang qui ruiselle dans les prés non à l'alcool et aux festivités. Vos confrères se meurent en se moment même à vos frontières n'irez-vous pas les aider? Ferez-vous donc rien? Cela est entièrement votre choix. Mais dites-vous bien ceci: si vous n'agissez pas tout de suite il sera peut-être trop tard.

À la fin de son monologue le prince prit congé et repartit d'où il était venu.

fëa avait écouter ce que le loup-garou avait dit... Il n'avait aps tort.. .Il aurait bien voulu aider, mais il ne pouvait pas... Son rang ne lui permettait pas! Alors il se leva, puisque personne n'avait pas fait attention, il déposa une pièce d'or sur la table, il en avait plein et surtout, il en avait pas besoin... C,était pour celui qui l'Avait servit, puis il quitta les lieux.... Il ne savait pas où il irait, mais sûrement dans un endroit un peu plus calme que dans la taverne.

En sortant, sa cape claqua au vent. Il semblait si grand et fort, mais la force physique n'était pas ce qu'il avait de plus fort. Sa vraie force venait de son coeur, ce qui alimentait énormément ses pouvoirs magique! Puis une fois à l'extérieur, il disparut!

Kariantor décida d’aller prendre de l’air à l’extérieur des murs du château…
Arriver à l’auberge, Kariantor vit Nenna puis resta figer avec un regard amoureux…Après un moment de fixation, Kariantor alla voir Nienna.

-B...bonj..bonjour Nienna, Comment allez vous ???